Films, séries:

  • Dexter
    • Il n'a tué personne, il a juste vidé les poubelles.
    • Si les yeux sont la fenêtre de l'âme, alors la souffrance en est la porte.
    • Je m'appelle Dexter, et j'ignore qui je suis vraiment. Je sais juste qu'il y a une partie obscure en moi. Et je la cache. Je n'en parle jamais. Mais elle est là, en permanence. Ce Passager Noir. Et quand il prend le controle, je me sent... vivant. A moitié écoeuré par l'immoralité absolue... Je ne le combat pas. Je le laisse. Il est tout ce que j'ai. Personne d'autre ne pourrait m'aimer. Pas même... surtout pas moi. Ou est-ce juste un mensonge du Passager Noir ? Parce que, ces dernier temps, je me sens parfois... connecté... à autre chose. Comme si... le masque glissait. Des choses, des gens n'ayant jamais eu la moindre importance en ont soudainement. Ca me flanque une trouille bleue...
    • Ils disent tous que les seules affaires que je conclue c'est dans mon lit.
    • Et un point de marqué pour le pantin sans coeur.
    • J'ai l'impression qu'un double mutant de moi s'est echappé pour tout detruire sur son passage... ça doit etre ça qu'on ressent quand on a des enfants.
    • L'homme a toujours était attiré par la mer... mais ce n'est pas notre milieu naturel. C'est l'endroit des tous les dangers : les marées, les courants, les vagues, le vent. Chaque élément est porteur d'un danger, il faut rester vigilant, la moindre erreur de jugement peut vous être fatale, mais un bon marin ne combat pas contre les éléments. Un bon marin compose avec eux et les utilise à son avantage, pendant que d'autres moins chanceux vont à la dérive le plus souvent la coque fracassée, le bon marin rentre toujours au port, saint et sauf.
  • Sons of anarchy
    • La plupart d'entre nous n'étaient pas violents par nature, nous avions tous nos problémes avec l'autorité mais aucun d'entre nous n'était antisocial. Nous avions compris que dés qu'on se plaçait en marge de la société, on renonçait a la sécurité que son cadre procurait. Hors du carcan social, le sang et les balles sont l'unique loi. Si tu es un homme de conviction, le recours a la violence est inévitable.
    • Quand on passe a l'action pour venger ceux qu'on aime, la justice personnelle entre en conflit avec la justice sociale et divine. On devient le juge, le jury et dieu. De ce choix découle d'effrayantes responsabilités. Certains hommes plient sous leur poids, d'autres abusent de ce moment. Le vrai hors la loi trouve l'équilibre entre la passion de son coeur et la raison de son esprit. La solution est toujours un égal mélange de pouvoir et de devoir.
    • Aucun de nous ne se voulait au dessus du club, nous étions le club mais les interêts en jeu et la jeunesse nous ont poussés au dela des limites, des lois que nous nous étions fixés. Ensemble, on pouvait tout faire, tout défaire, tout oser. Ensemble, nous ne craignions plus la société, c'est elle qui nous craignait. (inspiré)
    • Le concept était pur, simple, vrai. Il m'a inspiré, il a allumé en moi le feu de la révolte mais finalement j'ai appris la même leçon que goldman, prudent et bien d'autres, que la véritable liberté s'acquiert au prix de sacrifices et de souffrances. La plupart des hommes croient vouloir être libres mais la vérité est qu'ils se complaisent dans le carcan de l'ordre social, des lois rigides et du matérialisme. La seule liberté a laquelle l'homme aspire réellement est celle du confort matériel.
    • Plus je vieillis, plus je me rends compte que l'age n'apporte pas la sagesse mais seulement la lassitude. Je ne suis pas plus intelligent qu'il y a 30 ans, je suis simplement trop fatigué pour continuer à jongler avec les mensonges et à cacher mes peur. Le fait d'être conscient ne permets pas de révéler les faiblesses, c'est l'épuisement qui les révèle.
    • Je n'ai jamais consciemment décidé que le club soit une chose ou une autre, ça s'est passé devant mes yeux, chaque évènement violent était le catalyseur du prochain et au moment ou la violence a atteint des dimensions épiques - je ne le voyais pas, le sang était de toutes les couleurs...
    • Je ne vais pas m'apesantir sur le poids du passé, revenir en arriére n'a jamais réglé les problémes du futur ! A partir du moment ou chaque événement a venir se doît d'être jugé, jaugé, étudié. On est en droit de se demander si l'on a bien pris la bonne direction. Seul, on ne se pose que peu de questions, a plusieurs, on s'en pose encore moins. (inspiré)
    • J'ai conscience que dans ma spirale du desespoir, je tombais dans un abysse créé par mon absence de grâce envers l'humain. La plus évidente étant le pardon. Si j'étais trompé par quelqu'un, dans ou en dehors du club, je voulais une compensation... en argent ou en sang. Pas question de tendre l'autre joue. Quand les rapports humains deviennent un livre de comptes, on n'a ni amis ni êtres chers, rien que des plus et des moins. On est complétement seul.
  • Californication
    • Il n'y a ni de bien ni de mal, il n'y a que les conséquences de nos actes.
  • Private practice
    • Ca te dirais de jouer au piton dans la forêt?

Livres:

  • Beigbeder, 99 francs
    • Le monde est irréel, sauf quand il est chiant.
  • Hugh Laurie, tout est sous contrôle
    • Vous êtes une espece de sous-merde dangereuse, corrompue, hypocrite, qui se desseche depuis trop longtemps avec ou sans soleil.

Autres:

  • Peu importe la route que tu choisis, du moment que tu sais où elle te mène.
  • L'enfer c'est les autres.
  • L'éternité c'est long, surtout vers la fin.
  • La plupart des gens sont des gens ordinaires, même s'ils sont persuadés du contraire.
  • Est ce le drame qui provoque les fêlures de l'âme ou ne fait il que les révéler au grand jour.
  • Il y a quelque chose de plus important que la logique, c'est l'imagination.
  • A trop désirer la mort, on y brûle son âme.
  • Le bonheur ne se finit pas, il se rectifie.
  • La solitude nous tient compagnie quand le monde nous oublie.

Relationships are like drugs. They either kill you or give you the best feeling of your life Learning from the past. Making the best of the present. Walking into the future, blindfolded seasons change and so do we

aug 26 2011 ∞
may 19 2015 +