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  • L'élégance du hérisson, Muriel Barbery. Pour l'écriture incroyable, la beauté de la langue française, le mélange des cultures russes et japonaises, le passage sur la virgule, la fin.
  • Art, Yasmina Reza. Pour le thème, pour avoir réussi à condenser toute l'humanité des hommes et son contraire dans une si petite pièce, pour m'avoir fait aimer le théâtre contemporain, pour l'image du tableau qui reste depuis longtemps dans ma tête.
  • Les enchantements d'Ambremer, Pierre Pevel. Pour la description du début, pour m'avoir donné envie de découvrir Paris, pour m'avoir rendue encore plus nostalgique de la Belle époque parisienne, pour le chat qui lit les livres en dormant dessus.
  • Phèdre, Jean Racine. Et toutes les autres pièces de Racine. Pour la description si juste de la passion, de la pureté et de la folie, l'universalité de ses vers, pour m'avoir fait oublier mon chagrin une soirée.
  • Le Petit Prince, Antoine de Saint Exupéry. Pour mes souvenirs d'enfant dans le labyrinthe de maïs avant même d'avoir lu le livre, pour m'avoir fait pleurer, pour le renard, pour le "Dessine-moi un mouton".
  • Nos séparations, David Foenkinos. Pour tout. Pour l'humour, les magnifiques descriptions d'Alice, pour les deux polonais.
  • Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi, Mathias Malzieu. Pour ça : "Il y a bien les souvenirs, mais quelqu'un les a électrifiés et connectés à nos cils, dès qu'on y pense on a les yeux qui brûlent". Pour la poésie de chaque phrase, et pour m'avoir aidé.
nov 24 2010 ∞
jun 21 2013 +