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L'Arme à gauche : (de Claude Sautet, 1964, avec Lino Ventura, Sylva Koscina et Leo Gordon) : le film parfait dans le genre, un espèce de huis-clos en extérieur dans un décor sud-américain avec Lino Ventura et sa classe naturelle (mais tous les acteurs sont géniaux). C'est le premier film de Sautet (qui, paraît-il, le détestait sans doute à cause de son insuccès). Moi je trouve que c'est son meilleurs et si je vais pas jusqu'à dire qu'il aurait pu s'arrêter là c'est parce qu'il a beaucoup fait tourner la divine Romy Schneider
Angel Heart : (d'Alan Parker, 1987, avec Mickey Rourke) : encore un film génial et envoûtant. Film de détective se déroulant dans l'Amérique des années 50 (et notamment à la Nouvelle-Orléans) et qui est en fait une variation sur Faust. Si j'adore ce film depuis que je l'ai vu, j'ai en plus découvert récemment (grâce à Faurisson et compagnie) qu'il a sans doute un niveau de lecture supplémentaire puisqu'en plus d'une scène d'inceste ya une histoire de document écrit au stylo bille avant son invention et puis la guerre de 40 en toile de fond. Ceci dit je sais pas de quel côté penche le film vu son casting et çà n'a aucune importance ! En tout cas cette question a l'air récurrente chez Alan Parker. Je sais pas non plus si Mickey Rourke a eu des ennuis à cause de ce film mais je crois bien qu'il a eu une "traversée du désert". En tout cas en écoutant le commentaire de Parker sur le DVD on a franchement l'impression que lui-même est fasciné par ce film qu'il découvre en tant que spectateur
Terminator 2 - Le Jugement Dernier : (Terminator 2, Judgment Day, de James Cameron, 1991, avec Arnold Schwarzenegger) : le film de science fiction qui m'a fait arrêter de regarder des films de science fiction tellement je le trouvais parfait. C'est en fait un remake complet du premier basé sur une allégorie plus faible (le vieux contre l'ancien au lieu de l'homme contre la machine) mais il est tellement réussi et a tellement marqué notre imaginaire ! C'est le seul film de Cameron qui n'a pas vieilli même niveau effets spéciaux (la seule ombre au tableau étant le gamin) et c'est d'ailleurs un des gros problèmes du premier opus qui fait tellement année 80 (ce qui paraîtra sans doute charmant dans quelques décennies)
Aliens, le retour : (Aliens, de James Cameron, 1986, avec Sigourney Weaver) : là encore si le premier opus (de Ridley Scott) est beaucoup plus profond je ne peux que mettre celui-ci avant tellement il a marqué notre imaginaire. Ceci dit le film a beaucoup vieilli notamment point de vue effets spéciaux (les aliens, le véhicule etc). Dans une interview, Cameron (qui, soit dit en passant, est canadien) fait référence à la guerre du Vietnam et à son fiasco malgré l'asymmétrie des forces en présence pour donner un cachet intello au film... sympa pour les "aliens" vietnamiens
Buffet Froid : (de Bertrand Blier, 1979, avec Bernard Blier, Jean Carmet et Gérard Depardieu : un de mes films préférés et le seul film que j'aime de Blier avec Tenue de soirée (je déteste notamment Les Valseuses). Avec ses trois immenses acteurs réunis à la façon d'un entretien Brassens-Brel-Ferré et son scénario d'une absurdité parfaite le film touche au génie malgré sa thématique gnangnan (grands immeubles = solitude gnagna). C'est aussi le meilleurs film de Depardieu
Prodigal Son : (Bai ga jai, de Sammo Hung, 1981) un des meilleurs film de Kungfu. L'histoire se passe dans le milieu des acteurs ambulants avec un très fort fond taoïste et un contexte de violence de la dynastie mandchou contre eux. Ceci dit la deuxième et dernière partie du film plus comique et banale (le maître entraîne le disciple pour le combat finale) est un peu moins bien
Les Tontons Flingueurs : (de Georges Lautner et Michel Audiard, 1963, avec Lino Ventura, Bernard Blier...) : la crème des films de gangsters à la française (tendance comique). En fait (et je dis çà en toute objectivité) le film est ou aurait dû être un navet de Lautner comme les Barbouzes et tant d'autres mais les dialogues d'Audiard et le petit truc en plus en ont fait un chef-d'oeuvre hilarant
Mon voisin Totoro : (Tonari no Totoro, de Hayao Miyazaki/Studio Ghibli, 1988, avec Totoro) : chef-d'oeuvre de Miyazaki et des studios Ghibli qui ont su mettre en images toute la magie et la nostalgie de l'enfance et des liens perdus pour cause de modernité entre l'homme et la nature
Total Recall : (de Paul Verhoeven, 1990, avec Arnold Schwarzenegger) : plus que le film lui-même dont la réalisation n'est pas transcendante c'est l'histoire ici qui est géniale. Un espion s'est fait volontairement effacer la mémoire pour pouvoir infiltrer un groupe de terroristes... pardon de rebelles, mais sa mémoire lui revient plus tôt que prévu. Le fait que ce soit exactement la même histoire que le début de Cobra (le manga) ne peut pas être un hasard sans que je sache qui a copié qui. Quand le méchant du film coupe l'air des quartiers rebelles de Mars (qu'il a préalablement fait boucler) en disant 'qu'ils crèvent" comment ne pas penser aux Palestiniens dans Gaza ? D'ailleurs Verhoeven qui a fait des films très politiques comme Robocop (que j'aime pas par ailleurs) devait sûrement avoir une idée comme çà derrière la tête malgré la thématique bidon "gentils pionniers yankee" du film. Comme problème pour ce film on peut aussi dire que Schwatzenegger est clairement une erreur de,casting, il aurait fallu un mec plus svelte, moins bodybuildé et plus beau gosse...
Les Douze travaux d'Astérix : (de René Goscinny et Albert Uderzo, 1976) : le plus génial et le plus drôle des dessins animés et même des aventures d'Astérix (il n'est pas tiré d'une BD). Ya tellement de scènes et de répliques hilarantes dans ce truc c'est dingue.
Zombie : (Dawn of the Dead, de George A. Romero, 1978, avec Ken Foree) : le deuxième film de Romero sur les zombies mais celui qui est devenu l'archétype et le chef d'oeuvre du genre et qui a lancé la mode. C'est aussi une attaque contre la société de consommation où des survivants se réfugient dans un centre commercial plein de marchandises après l'avoir vidé de tous ses ex-consommateurs zombifiés. Personnellement j'ai découvert le film rès tard (dans les années 90) sur Ciné Cinéma mais j'ai tout de suite été subjugué. Les films de zombies que j'avais vu avant (outre le film comique Le Retour des morts vivants) c'étaient des films plutôt bas de gamme qui étaient en fait plus proches de l'ambiance de Massacre à la tronçonneuse mais avec des zomboches...
Tirez sur le pianiste : (de François Truffaut, 1960, avec Charles Aznavour et Boby Lapointe) : film de gangsters et de course poursuite très drôle avec un excellent Aznavour en pianiste dépressif et d'excellents acteurs en général. C'est le meilleur film de Truffaut et le meilleur de la Nouvelle Vague. Notons que dans le film on peut voir Boby Lapointe interprèter "Elle s'appelait Françoise" d'une façon complètement incongrue avec des gens qui dansent dessus.
Pulp fiction : (de Quentin Tarantino, 1994, avec Samuel L. Jackson, Bruce Willis et John Travolta) : film de gangsters très drôle qui semble s'inspirer directement des films comme les Tontons flingueurs ou ceux de la Nouvelle Vague avec beaucoup de scènes mémorables et les prémices de la naissance d'un super duo Bruce Willis/Samuel L. Jackson. Ceci dit, d'un point de vue moral, le film a des scènes assez perverses avec apologie des drogues dures, scènes homosexuelles S/M etc. On peut aussi noter que la présence du scientologue Travolta (qui est très bon) n'est pas anodine puisque Tarantino à l'air de pas mal fricoter avec eux comme avec les sionards d'ailleurs.
Docteur Folamour... : (Dr. Strangelove..., de Stanley Kubrick, 1964, avec Peter Sellers) : film hilarant sur la guerre froide et l'apocalypse nucléaire avec un Peter Sellers impressionnant qui campe plusieurs rôles. Notons que le film mériterait un énorme point Godwin puisqu'il accuse les yankee de collusion avec les nazis (alors que maintenant çà serait plutôt les islamofachistes "qu'on" accuserait de çà). Pour ce qui est des autres films de Kubrick, franchement y'en a aucun que j'aurais envie d'avoir dans ma DVDthèque
Bud Spencer et Terence Hill : site web : voilà du cinéma populaire comme on l'aime ! Putain mais quel plaisir encore aujourd'hui de regarder les films de Bud Spencer et Terrence Hill de la grande époque ! À l'époque j'étais même allé en voir certains à leur sortie au cinoche (comme Cul et Chemise je crois) ! Ils auront vraiment été les Laurel et Hardy des années 70-80 ! Le truc qu'on avait pas vu c'est que y'avait pas que le duo de distributeurs de baffes qui était à l'origine de la réussite des films, y'avait aussi les réalisateurs (et notamment Giuseppe Colizzi). Du coup quand celui-ci a arrêté de faire leur film çà a malheureusement été le début de la fin pour eux alors qu'ils avaient réussi a survivre à l'époque des Westerns spaghetti en se reconvetissant dans le genre aventure tropicale puis policier. Bon après je sais pas si ya eu des embrouilles entre eux ou quoi mais c'est allé de mal en pis, le pis ayant sans doute été quand le père Terence s'est mis à se prendre pour un réalisateur (et la destruction de Cinecitta et du cinéma italien n'a pas dû arranger les choses). Si je parle d'embrouilles c'est parce qu'à un moment ils ont fait chacun des films de leur côté. En plus faut dire que, contrairement à Laurel et Hardy où les deux sont à peu près à égalité, ici c'est bien Bud Spencer qui était celui que tout le monde adorait et venait voir, Terence Hill n'étant qu'un blondinet parmi d'autres rescapé de l'ère des péplum. Hors c'est pourtant toujours Terence Hill qui était en premier dans les génériques... D'ailleurs les films avec Bud Spencer sans Terence Hill sont très drôles alors que ceux de Terence tout seul sont nases. Pour finir j'ai cru constater que beaucoup de gens n'ont pas du tout compris que c'était du cinéma italien et croient dur comme fer que Bud et Terence sont yankee ! À tel point d'ailleurs que je les ai vu une fois à un journal de France 2 où ils se sont mis à baragouiner l'anglais (alors que Bud Spencer parle français), j'ai d'ailleurs changé de chaîne tellement j'étais gêné. Pour ce qui est des DVD, le moins qu'on puisse dire c'est que tous les films ne sont pas encore sortis dans ce format et c'est bien dommage :
Invasion Los Angeles : (They Live, de John Carpenter, 1988, avec Roddy Piper et Keith David) : film a petit budget et assez mal ficelé (ce qui participe à son charme) mais dont l'histoire géniale et les scènes mémorables ont marqué à jamais notre imaginaire. Notons que "certains" semblent avoir assez modérément apprécié le film (voire se sont sentis visés) et que Carpenter a d'ailleurs fini par être mis sur la touche
The Thing : (de John Carpenter, 1982, avec Kurt Russell et Keith David) : remake bien plus réussi que le film original. Un huis-clos viril au Pôle Nod face à un extra-terrestre parasite mimétiste et polymorphe. Carpenter (qui a eu un assez gros budget pour ce film) ne fait que réaliser ici, les dialogues et le scénar n'étant pas de lui. Le seul problème du film (déjà à l'époque) ce sont certains effets spéciaux qui font un peu trop maquette/image par image (alors que d'autres sont très réussis comme la tête-araignée). La fin pas très happy end vaut aussi le détour. Comme pour invasion Los Angelès le film semble avoir été mal pris par certains (on se demande bien pourquoi), des parasites polymorphes qui prennent l'aspect de leur hôte puis le tuent ? Non je vois vraiment pas...
Mad Max 2 : (de George Miller, 1981, avec Mel Gibson) : super film qui a fondé le genre post-apocalyptique tout en en restant la meilleure illustration. Ceci dit le film a des défauts (amateurisme) mais sans grande importance tellement l'histoire et les scènes emblématiques sont fortes et ont marqué notre imaginaire.
Predator : (de John McTiernan, 1987, avec Arnold Schwarzenegger) : l'idée du film est géniale à tel point que le Predator a tout de suite trouvé une place de choix dans le bestiaire des monstres/extra-terrestres modenes. Le problème c'est que, comme presque tous les films hollywoodiens (et malgré sa réalisation très carrée), il a vite pris un coup de vieux. McTiernan se plaint lui-même qu'on lui ait forcé la main pour qu'il tourne le film dans un parc naturel yankee au lieu de le faire dans une vraie forêt d'Amérique Centrale et faut bien dire que çà se voit ! Les tas de feuilles mortes style forêts tempérées çà fait un peu tache malgré les fausses lianes et plantes tropicales qu'ils ont été obligés de mettre. Et puis faut bien dire que quand on les regarde maintenant, les gros durs body-buildeurs de la bande à Schwarzy font plutôt penser aux Village People.
La chair et le sang : (Flesh and Blood, de Paul Verhoeven, 1985, avec Rutger Hauer) : super film qui se passe à la fin du Moyen-âge/début de la Renaissance et qui met en scène une petite bande de soldats de fortune qui capture sans le vouloir une jeune femme noble. S'en suit une course poursuite et une histoire d'amour croisée entre le chef de ces soldats, la noble damoiselle et le jeune damoiseau à qui elle a été promise. Fasciné par ce film (dont j'avais pas lu le générique) j'ai longtemps cherché qui en était l'auteur et c'est grâce à Internet que j'ai découvert que c'était le néerlandais Verhoeven qui l'avait fait avant d'aller faire Robocop à Hollywood. J'ai aussi découvert au passage que l'acteur qui fait le chef des soldats (Martin) n'est autre que le gars qui fait Robocop !
Une Nuit en Enfer : (From Dusk Till Dawnn, de Robert Rodriguez, 1996, avec George Clooney, Quentin Tarantino et Harvey Keitel) : film de vampires très rigolo avec George Clooney (qui ne fait plus du tout rire depuis l'instauration d'un nouveau foyer de chaos permanent au Sud Soudan) et Tarantino. En fait çà aurait pu (ou dû) être un des grands films voire le film absolu dans le genre vampire s'il avait été fait (au premier degré) dans les années 80 mais il est sorti 10 ans trop tard et ce n'est donc qu'un excellent film mais au second degré.
Ingmar Bergman : site web : Ya eu une rétrospective Ingmar Bergman une fois sur Cinécinéphile et j'ai pu regarder plusieurs de ses films comme une série sans bien faire attention au titre. Inutile de dire que j'avais été tout de suite subjugué par leur réalisation, la profondeur des thèmes abordés, la musicalités onirique de la langues et le talent des acteurs. Comme quoi ce qui font des films intellos chiants sont tout simplement des nuls.
L'Intégrale Ze Inconnus Story : (de Didier Bourdon) putain mais qu'est-ce qu'on a pu se marrer en voyant les émissions des inconnus sur Antenne 2 à l'époque. C'est arrivé comme çà sans prévenir (alors qu'on avait un peu oublié les inconnus depuis le Théâtre de Bouvard) et paf on se prend çà dans la gueule et çà devient un truc presque aussi marquant que Coluche. À noter que quand on dit "Les Inconnus" c'est surtout Didier Bourdon qu'on désigne puisque c'est lui le principal auteur et de loin le meilleurs acteurs de la bande (Legitimus (qui, a la base, remplace Smaïn) est vraiment très mauvais ce qui n'a aucune importance dans un truc de parodie mais qui se voit énormément dans les trucs prétendûment sérieux qu'il a fait après). Il faut dire aussi que Didier Bourdon a l'air d'avoir payé très très cher cette incroyable explosion de rire qu'a constitué l'ensemble de ses sketchs et notamment certains d'entre-eux comme Bensoussan le viking qui n'ont pas dû plaire à tout le monde.
Terminator : (The Terminator, de James Cameron, 1984, avec Arnold Schwarzenegger) : le premier opus de la saga et le plus fort sur le plan de l'histoire puisqu'il oppose l'homme à la machine (et non pas la vieille technologie sympa à la moderne arrogante comme dans le deux). Mais le problème c'est que comme tous les films hollywoodiens il a vite pris un énorme coup de vieux et il me faudra encore quelques années avant de ne pas avoir envie de rire en voyant les coiffures et le style années 80 (Rickie Martin) des personnages (sauf bien sûr Schwarzie). C'est donc finalement le deux (qui est d'ailleurs un quasi-remake du un) qui m'a le plus marqué et qui a même constitué pour moi (avec Alien 2) le sommet de ce que Hollywood pouvait produire en terme de SF.
Le Retour des morts-vivants : (The Return of the Living Dead, de Dan O'Bannon, 1985) : un petit film de zombies mais tendance comique avec des scènes assez rigolotes. C'est en fait le premier film de zombies que j'ai vu, bien avant Dawn of the Dead que j'ai vu très tard.
Astérix le gaulois : (de Ray Goossens, 1967^) : c'est le premier dessin animé Astérix qui, en toute logique, met en image le premier album Astérix. Bon il est bien moins bien que les Douze Travaux mais il est quand même très plaisant à regarder.
La Haine : (de Matthieu Kassovitz, 1995, avec Vincent Cassel) : le film est complètement naze et faux-cul sur le plan de l'histoire et de la "morale" mais je le mets parce que je l'ai en DVD et parce qu'à l'époque çà m'avait vraiment épatté de voir un film français potable sur le plan cinématographique
Bad Taste : (de Peter Jackson, 1987) : premier et seul film vraiment bien de Peter Jackson, film ultra-gore et complètement délirant tourné à la manière des films d'horreur des années 70/80 genre post-Massacre à la tronçonneuse avec comme méchants des extra-terrestres kidnappeurs et mangeurs d'hommes. Braindead est pas mal non plus comme film mais ya un côté "freudien" assez malsain. Par contre Le Seigneur des anneaux est vraiment nul
Le Nom de la Rose : (de Jean-Jacques Annaud, 1986, avec Sean Connery) : un très bon film policier médiéval avec une super ambiance malheureusement tiré d'un roman d'Umberto Eco à l'intrigue complètement débile (un méchant moine qu'aime pas qu'on rigole veut empécher que les gens lisent le traité d'Aristote sur le rire). Ceci dit l'intrigue ne gâche en rien le film.
Cyrano de Bergerac : (de Jean-Paul Rappeneau, 1990, avec Gérard Depardieu) : une vraie réussite ce film de cape et d'épée qui est un des meilleurs rôle de Depardieu. Paradoxalement, c'est aussi son dernier grand rôle qui, en même temps qu'il lui ouvrait les portes de Hollywood, sonnait la fin de sa carrière artistique
Roujin Z : (de Hiroyuki Kitakubo et Katsuhiro Otomo, 1991) : manga très amusant sur les dérives des robots devenant trop humains qui sont utilisés ici pour aider les personnes âgées dépendantes. Le film a aussi un fond religieux bouddhiste.
Fenêtre sur cour : (Rear Window, d'Alfred Hitchcock), 1954, James Stewart et Grace Kelly) : film d'Hitchcock très sympa sur une enquête policière amateure d'un mec avec une jambe dans le plâtre et de sa copine sur un de ses voisin assassin qu'ils épient